La mission s’achève…
Catherine Trebaol et Marie Guichaoua ont été missionnées comme garantes par la Commission Nationale de Débat Public depuis fin avril pour garantir une communication respectueuse et responsable. Après 18 temps de concertation spécifique au projet de création de la deuxième ligne de Tramway et d’une ligne d’un Bus à haut niveau de service, la remise d’une étude de contexte et d’un bilan de la concertation, la mission s’achève.
La maitrise d’ouvrage Brest métropole avait prévu une concertation très structurée et bien répartie sur les différentes communes de la métropole dont :
- 5 réunions publiques (2 en centre -ville et 3 sur les communes périurbaines)
- 3 ateliers de contribution (Bellevue, Lambézellec, centre-ville de Brest)
- 5 rencontres dont 2 sur les marchés de Bellevue et Lambézellec et 3 sur des sites clés (gare et hôpital Morvan et la Cavale blanche)
- 1 rencontre avec les conseils consultatifs de quartier
- 1 rencontre avec les associations
- 3 réunions institutionnelles (acteurs socio-économiques, hôpital, Naval Group et la Marine nationale)
- 1 rencontre avec le Conseil de développement.
Toujours sous l’égide de la CNDP et avec les mêmes garantes , la concertation sur la création de deux ascenseurs urbains situés entre la ville Basse ( le port de commerce) et la ville haute ( le centre- ville) a débuté le 22 mai et s’est également achevé le 14 juillet.
Les bilans ont été présenté à la CNDP le 4 septembre dernier et seront présentés au conseil de métropole ce soir.
On peut retenir que les brestois ont été très présents par le bon taux de participation aux réunions et ateliers (778 ) , par leurs contributions (596 sur les registres , sur le site je participe.fr et via les courriers et les mails envoyés) pour le développement du réseau structurant. Sur le sujet des ascenseurs urbains qui a fait l’objet d’une concertation courte ( 6 semaines) les brestois se sont aussi très fortement mobilisés (505 participants et 222 contributions) et les avis très contrastés exprimés en réunion ou via les registres démontrent bien que ce projet est fondamental pour les Brestois : il fait surgir leur attachement au patrimoine, met en exergue des visions de la ville différentes selon les générations, selon les modes de vie.
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